Paul Valéry

Je ne puis développer à présent ces considérations à peine indiquées et me borne à répéter ce que j’ai dit assez souvent : prenons garde d’entrer dans l’avenir à reculons… C’est pourquoi je n’aime pas trop que l’on parle de reconstruire la France : c’est construire une France que j’aimerais que l’on voulût.